Esthétique et technique, un ravalement de façade fait pour durer

Rénovation des façades d’un pavillon au Raincy (93)
Pour la réfection des façades de ce pavillon de la banlieue parisienne, l’entreprise de ravalement Da Silva a eu une approche technique et décorative. Soit, un
Le contexte
Typique des zones pavillonnaires des banlieues de la région parisienne, ce pavillon du Raincy (93), construit dans les années 1970/80, commençait à montrer des signes de fatigue : « La façade était dégradée, il avait des salissures et quelques fissures. Nous devions aussi refaire l’étanchéité de la partie mitoyenne », explique Jean Mercier le propriétaire.
Décision est donc prise de donner un sérieux coup de jeune à l’ensemble. Le cahier des charges des propriétaires est précis : « Nous souhaitions quelque chose qui se rapproche de l’existant, dans des tons clairs ».
Quant à l’entrepreneur, ils l’ont déjà trouvé : « Nous avons confié les travaux à monsieur Jorge Meneses, de l’entreprise
Da Silva à Montfermeil (93), avec qui nous avions eu une première expérience concluante.»
L'oeil de l'expert
C’est donc parti !
Fort de son expérience, Jorge Meneses a tout suite vu que les travaux seraient plus sérieux qu’un simple coup de jeune : « Le support n’était pas terrible, j’avais peur qu’un banal
La suite lui a donné raison : « Nous avons pioché les façades avant et arrière, lesquelles étaient très dégradées. Nous avons trouvé une maçonnerie en brique creuse, avec des fissures parfois importantes. C’est le seul souci rencontré sur ce chantier ».
Fissures donc à traiter avant de mettre en place le nouveau revêtement. Et pour éviter toute erreur, l’entrepreneur fait appel à son fournisseur, Weber : « J’ai demandé une préconisation pour le traitement des fissures, de façon à m’assurer que la première couche d’
La réponse technique
La préconisation a porté sur la mise en place, avant le corps d’
Après la mise en place de cette couche d’accroche, Jorge Meneses a choisi un
« Je suis très satisfait du résultat : il n’y a pas eu de différence de couleur entre la première et la deuxième couche, l’accroche est parfaite, le séchage aussi, le crépis ne cloque pas, il n’y a pas de différence entre la couche d’accroche et le corps d’enduit ».
La proposition esthétique
Pour la dernière couche, l’entrepreneur part sur un