Rénovation d'une salle de bains contemporaine sous les combles (77)

Entièrement rénovée, une salle de bains pleine de charme
Transformation radicale pour cette salle de bains démodée et en très mauvais état. Aujourd’hui, c’est une pièce agréable, lumineuse, où les points délicats – étanchéité, collage des carrelages… – ont été traités qualitativement. C’est-à-dire pour durer !
Le contexte
Cela fait dix ans que la famille Leguy a acheté une maison à Coupvray, en Seine et Marne. « C’est une bâtisse des années 1980 que nous avons entièrement remise à niveau en terme de confort », explique Fabrice Leguy, qui a réalisé lui-même les travaux. A l'étage, dans les combles aménagées, une petite salle de bains restait dans son jus : « Nous ne l’avions pas rénovée car nous avions d’abord privilégié les autres pièces ».
L’œil de l'expert
Ladite salle de bains étant d’origine, en très mauvais état, rien n'a été conservé : « J’ai tout enlevé pour repartir simplement des murs d’origine en brique et de la charpente. Cela m’a permis d’agrandir la pièce de 4 m2 en récupérant un petit espace perdu». La salle de bains s'étend, de 7 à 11 m2 : de quoi prendre ses aises. La première tranche des travaux a consisté à changer la fenêtre de toit, à isoler les murs et les rampants, puis à habiller l’ensemble avec des plaques de
La réponse esthétique
Fabrice Leguy a récupèré la baignoire existante : « C’était le seul élément en bon état et comme nous avons déjà une salle de bains avec douche à l’italienne, nous avons préféré conserver la baignoire. » Tout le reste est neuf : lavabo et robinetterie. Côté décoration, la famille retient des choix originaux : «Pour le sol, nous avons sélectionné un carreau céramique imitation carreau ciment. Aux murs, nous avons opté pour de grands carreaux (30 x 70) avec un relief gaufré, ce qui apporte du volume dans la pièce».
La proposition technique
Reste le plus difficile : la mise en œuvre de ces beaux carrelages. Pour ce faire, Fabrice Leguy retient des produits – étanchéité, colle à carrelage et joints – de la marque Weber. C’est donc parti avec l’indispensable mise en étanchéité à l’eau du sol avant la pose du carrelage. «C’est un système très simple à mettre en œuvre : d’abord le primaire au rouleau puis les bandes d’étanchéité aux angles sols/murs. » Pour l’encollage et la mise en place du carrelage, c’est le même sentiment de facilité : « J’ai posé les carreaux en diagonale. C’est un peu plus long mais au final, le rendu s’avère plus intéressant ; cela apporte de la perspective. J’ai procédé par double encollage et prévu des joints de 2 mm de largeur. »
Le traitement des murs, en revanche, était un peu plus complexe : « Il a fallu prévoir un